Examens fin module Electromecanique des systemes automatises-ESA OFPPT


Examens fin module Électromécanique des systèmes automatises-ESA OFPPT 










EFM ESA  OFPPT ISTA









Information

Eucalyptus cladocalyx. F. v. Muell.
Description Botanique : arbre de 30 à 45 m de hauteur et 1,50 m de diamètre.
Ecorce : caduque de couleur claire un peu jaunâtre, persistante à la base dutronc.
Feuilles : opposées par 3 ou 4 paires, puis alternes, elliptiques orbiculaires, pétiolées de 6x6, 5 cm.
Adultes : alternes de 8-14x1,5-3 cm, lancéolées à largement lancéolées, un peu plus claires sur la face inférieure. Nervation de 40°-50°.
Inflorescences : en ombelles axillaires ou en panicules terminales. Ombelles comprenant de 4 à16 fleurs, portées sur un pédoncule de 10-15 mm. Boutons allongés de 10x4-6 mm. Opercule hémisphérique apiculé.
Fruits : brièvement pédicellés de 10-15x5-10 mm, ovoïdes, cylindriques urcéolés, légèrement côtelés longitudinalement. Disque étroit et déprimé à 3 valves encloses.
Origine : Australie méridionale.
Bioclimats : semi-aride supérieur, subhumide, variantes chaude à tempérée.
Pluviosité : 350-600 mm.
Température : m.a: -2° à -4°C.
Vent : le feuillage est sensible au vent froid.
Sol : espèce sensible au calcaire actif ; chlorose rapidement dans les sols qui en contiennent une forte proportion ; redoute les sols hydromorphes, et notamment l’hydromorphie de surface des limons tassés des dépressions ;  donne de bons résultats sur schistes et quartzites qui possèdent une bonne capacité de rétention.
Utilisation : cette espèce de belle forme, fournissant un bois de qualité, mérite d’être traitée en futaie. Un peu plus xérophile et apparemment plus résistante au calcaire que E. camaldulensis, elle peut concurrencer ce dernier là où il est à sa place, notamment dans les subéraies côtières, malgré sa croissance un peu plus faible, car elle produit du bois d’Å“uvre. Peut également, comme E. sidéroxylon, relayer E. ca. Vers l’intérieur en donnant des rendements acceptables, sous une pluviométrie un peu inférieur et dans des sols plus secs, par exemple dans les subéraies mélangées de thuya et de tizra de l’arrière-pays de Rabat –Casablanca. 
9.  Eucalyptus.  sargenti Maiden
 Description botanique : espèce voisine des eucalyptus astringens et occidentalis. Elle en diffère par son port d’arbuste ou de petite arbre (8-15 m de haut), ses feuilles étroitement lancéolées de 6-10x1.5 cm, par son opercule incurvé, étroitement cylindrique de 12-15x4 mm.
Origine : sable salés de l’Australie occidentale.
Bioclimats : de l’aride côtier au subhumide, variantes chaude et tempérée.
Sols : espèce supportant des sols marneux et argileux ; encore plus résistante à la salure que E.occidentails (12g de CINa par kg de terre sèche).
Utilisation : malgré sa forme médiocre, cet eucalyptus est employé dans les reboisements de protection des zones semi-aride, en raison de son adaptation aux terrains lourds et salés.
10. Acacia Cyanophylla. Lindl.
Description botanique : arbre à port très ramifié, à tronc court sinueux, pouvant atteindre 6-8 m de haute.
       Ecorce : gris brunâtre, fissurée. Rameux de l’année vert claire.
       Feuilles : les feuilles juvéniles sont composées puis sont remplacées par des phyllodes pouvant atteindre 30 cm de longueur, de 0.6 à 3 cm de large, de couleur vert bleuté, légèrement falciformes avec une nervure principale bien marquée.
      Inflorescences : fleurs groupées en glomérules formant des grappes ; glomérules 1-1.5 cm de diamètre de couleur jaune vif.
       Fruits : gousses plates assez rétrécies les graines, légèrement arquées de 7-13 cm de long sur 0.5 cm de large ; graines brun verdâtre foncé.
Origine : Australie occidentale.
Bioclimats : depuis le saharien côtier jusque dans l’étage humide ; variante chaude à fraîche.
Vent : espèce assez sensible aux embruns.
Sols : espèce se trouvant pratiquement sur tous les types de sols ; les meilleur résultats étant obtenus sur les sables profonds.

Utilisation : malgré sa faible longévité (20-25 ans) cette espèce très plastique au port buissonnant, qui rejette de souche et qui drageonne : est très employée dans les reboisements de protection : elle sert à fixer aussi bien les sables dunaires que les berges de ravin, et constitue l’une de essences de base des périmètres sylvo-pastoraux de basse altitude, du fait de la valeur fourragère de ses feuilles et de ses gousses.












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