Examen de fin formation communication
arabe niveau T et TS OFPPT

fin formation communication arabe niveau T et TS
Examen de fin formation arabe niveau T 2016.
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Examen de fin formation arabe niveau TS 2015.
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Examen de fin formation arabe niveau TS 2014.
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Examen de fin formation arabe niveau TS v2 2013.
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Examen de fin formation arabe niveau TS v1 2013.
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Informations
Les portes balais
C’est un support Ã
glissière pour les balais. Le guidage doit avoir une hauteur suffisante et avec
un jeu convenable pour éviter aussi bien les coincements que les battements.
Dans quelques cas,
des rainures anti-poussières sont aménagées sur les faces des balais ou dans le
guide pour éviter tout blocage.
Les ressorts des balais
Ils ont pour rôle
d'obtenir une pression de contact entre chaque balais et le collecteur. Cet
effort doit être suffisant pour limiter la chute de tension sous les balais et
de plus éviter tout décollement.
L'effort ne doit
pas être trop important pour limiter les échauffements et usures aux contacts.
Les ressorts tout
comme les balais ont une durée de vie limitée.
Le rotor est constitué de bobines autour d’une
masse magnétique et d’un arbre. L’alimentation des bobines se fait par un
collecteur monté en bout d’arbre. La résistance entre 2 lamelles contiguë est
de quelques dixièmes d’ohm, la résistance entre 2 lamelles situées à des
extrémités opposées est de quelques ohms.
Le démarrage et la variation de vitesse
Il peut y avoir plusieurs modes d’alimentation
et de démarrage selon le type de moteur CC.
Principe du variateur à thyristors
Si on agit sur la tension d’alimentation
ou sur le courant d’excitation, on obtient une variation de vitesse. En
diminuant le courant d’excitation le flux diminue et la vitesse augmente mais
on fait diminuer le couple du moteur. Pour pallier à cette diminution du couple
il est préférable de conserver le circuit inducteur sous une tension constante
et de faire varier la tension appliquée à l’induit (rotor) par des
thyristors.
Un thyristor est un semi conducteur qui laisse passer le courant dans un
sens lorsqu’un signal est appliqué à un organe de commande appelé gâchette.
Si on alimente le circuit par un courant alternatif et en faisant varier
le moment ou la gâchette déclenche l’amorçage du thyristor, celui-ci conduira
sur une partie plus ou moins grande des alternances positives appliquées à sa
cathode. Ce qui fera varier la valeur
moyenne du courant traversant le rotor comme le montre la figure ci-dessous.
Le freinage des moteurs à courant continu
Il peut être nécessaire de freiner un moteur
qui continue à tourner son alimentation étant coupée.
Freinage
mécanique
Le disque de freinage est appuyé fortement sur
son « Ferodo » par un ressort lorsque le moteur est en position
repos, ce qui bloque sa rotation. Un électro aimant annule l’action du ressort
et écarte les éléments de freinage lors de la mise sous tension du moteur. La
coupure de la tension du moteur et de l’électro aimant rétablit la position de
freinage.
Freinage
dynamique
Il consiste à ouvrir le circuit de l’induit
(rotor) et à y relier une résistance aux bornes qui dissipera l’énergie fournie
par le moteur fonctionnant alors en génératrice ou dynamo. Le courant circulant
dans l’induit et la résistance produira alors un couple de freinage
proportionnel à l’intensité du courant.
Freinage par inversion de courant
Cette méthode beaucoup plus efficace que la
précédente consiste à inverser le sens de courant dans l’induit. Le courant
inversé devient alors très élevé, il faut donc placer une résistance en série
lors de cette inversion pour limiter le courant à deux fois sa valeur nominale.
Dès que le moteur s’arrête il faut immédiatement couper le courant pour
l’empêcher de repartir en sens inverse. Pour cette raison, on place un
interrupteur centrifuge qui détecte le passage de la vitesse à zéro.